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    Dimanche 15 janv : 9h nous rejoignons papy et mamy à l’ambassade du Mali pour déposer les demandes de visas et nous partons ensuite au port de Nouakchott ou nous suivons mamy qui est bien décidée à acheter des langoustes,

    port-nkt-1

    nous en trouverons donc et elles seront consommées le midi même, sur le grill, un délice ……………..15h pendant que les hommes font la sieste, mamy m’emmène avec le HJ récupérer nos passeports à l’ambassade du Mali

    langoustes-nkt

     

    undi 16 janv : la galère pour retirer de l’argent dure depuis hier et cela nous a pris une bonne partie de la matinée, nous disons au revoir à Jacques de cacahuète qui poursuit aussi son voyage

    jacques-et-cacahuète

    , et au moment de fermer le camion pour quitter Menata les portes arrières sont coincées, impossible de les fermer, Jeff doit démonter la serrure pour réparer. Il est déjà midi, papy et mamy nous rejoignent à l’auberge et nous cassons la croute. Nous faisons les courses au supermarché « tata » , le plein de carburant et nous quittons Nouakchott dans l’après midi pour la route de l’espoir. Nous passons plusieurs contrôles de police, douane et gendarmerie, traversons quelques villages

    village-rte-de-lespoir

    et vers 17h30, après Boutilimit nous sortons de la route pour trouver notre bivouac de la nuit.

    bivouac-1-rte-de-l-espoir

    Les enfants sont ravis car il y a du bois pour faire un feu, nous pourrons ainsi bruler nos déchets .De plus, des dromadaires viennent s’inviter à l’apéro, des vaches et des ânes s’inviteront au petit déjeuner, les garçons sont euphoriques !

    bivouac-1-chameaux-rte-de-l-espoir

    Mardi 17 janv : dés le réveil, nous avons droit à un beau spectacle avec le lever du soleil et un défilé d’animaux.

    bivouac-1-lever-soleil
     
     
    bivouac-1-vaches

    Nous prenons notre petit dej et tranquille nous reprenons la route qui traversent des dunes de sable couleur brique c’est magnifique ! à Aleg nous prenons du carburant et achetons du pain, Anton fait fureur auprès des jeunes filles !

    Vers midi, pause repas, un café et ça repart…………..le paysage change, nous avons quitté les dunes de sable pour des plateaux rocheux « style grand canyon américain »,  vers 16h nous décidons donc de quitter la route pour se rapprocher de ces montagnes qui nous attirent  et nous trouver un bivouac sympa……….……..nous passerons la soirée à admirer le ciel étoilé, tout en refaisant le monde, au pied de la montagne des indiens !

    bivouac-2-rte-de-l-espoir
     

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    Mercredi 18 janv :petit dej pris et campement rangé nous reprenons la route vers Kiffa, toujours entourés de montagnes rocheuses, et même de quelques palmeraies. Vers midi nous sommes à Kiffa, là où nous quittons la route pour la piste direction Kayes au Mali ( environ 350 kms)

     

    roc-3-rte-de-l-espoir

     

    La piste est sablonneuse, en fin d’après midi il faut trouver un endroit discret pour la nuit, papy nous suggère de passer derrière les dunes, OK pas de problème mais nous sommes novice en la matière !! Papy passe le premier pour tester le sable et la pente, il passe sans ennui……alors GO !! l’iveco prend l’élan, accélère mais arrivé en haut le sable est trop mou on s’enfonce……….alors on dégonfle les pneus, blocage de pont enclenché et on s’en sort tout doucement sans trop forcer, ouff……..

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    Nous serons effectivement bien à l’abri pour la nuit mais la température a chuté, la soirée sera fraiche. Papy joue avec les enfants, leur fabrique même une cabane.

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    cabane-bivouac-1-piste-kiffa

    Jeudi 19 janv : 13° au petit matin ça caille ! nous devons redescendre cette fameuse dune ! nous attendons que papy et mamy soient en bas et on y va……ça chasse un peu sur le côté mais ça passe. Nous continuons sur la piste vers Kankossa, un village prés d’un oued, dans lequel nous devons faire viser nos passeports pour la sortie de Mauritanie mais arrivés au village nous sommes du mauvais côté de l’oued, nous avons loupé la piste qui nous permet de le traverser (sans eau) donc nous faisons demi tour mais finalement l’endroit ne sera pas trop loin .

     

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    Une fois la police trouvée, nous faisons une pause repas et nous poursuivons la piste. Le paysage change, les baobabs apparaissent. Nous sommes à Hamoud, autre village de contrôle douanier avant de rentrer au Mali, c’est la fin d’après midi, nous ne trouvons pas facilement la piste et nous sommes assaillis par les enfants du village, ils courent après nos véhicules en nous demandant des cadeaux. Nous décidons de nous arrêter pour la nuit à côté d’un baobab, nous chercherons la piste demain………………….

    bivouac-2-piste-ves-kayes
     

    Vendredi 20 janv : cette nuit le vent a beaucoup soufflé et il fait plutôt frais le matin, ce climat est assez inhabituel, papy et mamy qui sont habitués à voyager en Afrique sont surpris car la chaleur n’est pas au rendez vous ! Nous reprenons la route après le rituel du petit déjeuner et du rangement. Ce matin nous galérons pour trouver la piste, elle n’est vraiment pas facile à trouver alors nous sommes obligés de naviguer au cap en hors piste avec les difficultés que cela engendre, mais nous découvrons un environnement totalement dépaysant, c’est un enchantement pour les yeux.

     

    baobab-chacal-piste
     
     

    Nous arrivons finalement au poste de douane pour l’entrée au Mali dans l’après midi, dans le village pendant que Jeff fait viser les passeports, Anton et Louan font la causette et serrent les mains des enfants du village qui ont entouré le camion.

    piste-vers-kayes-4

    Ça y est nous sommes au Mali !

     

     

    LE MALI

     

    Samedi 21 janvier nous arrivons à Kayes en début d’après midi après 3h de piste très cassante et nous sommes couverts de poussière

     Kayes est en principe la ville la plus chaude du Mali mais cette année sera une exception ! on ne peut pas dire qu’il fasse froid : 25° mais ce n’est pas les 35° attendu !

    Nous faisons quelques courses et prenons les assurances nécessaires pour le pays avant d’aller au camping (dans le parc de hôtel Kamakolé), et ce soir nous aurons le « privilège »d’être aux premières loges d’une fête de mariage : tenues colorées et musique jusqu’à plus d’heure ……………..

     

    Dimanche 22 janvier : journée tranquille, nous en avons profité pour faire les lessives, quelques révisions mécaniques, faire les pleins d’eau, Jeff a même réparé notre petit poste de radio qui ne fonctionnait plus pour écouter les infos d’Afrique.

    Demain nous repartons, direction Bamako par les pistes jusqu’à Kita.

    Lundi 23 janv :ce matin Jeff est malade, nous pensons à une turista, comme moi il y a 10 jours, il pensait pouvoir prendre la route quand même mais il était trop optimiste, après avoir fait les papiers des douanes et de la police, fait quelques courses, nous retournerons donc au Kamakolé jusqu’à ce qu’il se sente mieux. Il passera l’après midi à se reposer sur un transat prés de la piscine………..

    Ce matin nous avons fait le marché de Kayes, c’est un lieu riche en couleurs et en odeur, très populaire et très fréquenté, j’ai réalimenté nos placards en légumes et en fruits pour plusieurs jours.

     

     

     

    Mardi 24 janv :ce matin Jeff va mieux, il a gagné le combat contre la turista, il est encore un peu fatigué mais suffisamment en forme pour reprendre la route alors c’est parti ! Nous quittons le campement, traversons Kayes direction les chutes de Gouina. Nous avons la surprise de trouver une bonne partie de la piste goudronnée (papy et mamy ont emprunté cette piste l’année dernière non goudronnée !)en fait un barrage est en construction sur les rapides du félou (par les chinois) et donc la route est apparue ! les 30 derniers kms pour aller jusqu’aux chutes restent de la piste « pure et dure »avec quelques passages délicat pour traverser des oueds à sec, mais quelle récompense à l’arrivée !!le site des chutes de Gouina est superbe !

     

    chutes-gouina

     

    En fin de journée Anton montre des signes de fatigue et de la fièvre le matin il a eu des diarrhées, nous pensons qu’il a lui aussi une turista. La nuit a été difficile, nous nous inquiétons un peu mais le lendemain soir il va déjà mieux .

    Nous resterons 2 jours à côté des chutes pour profiter de ce site

     

    chutes-gouina-iveco

     

    Mercredi 25 janv : Nous profitons du fleuve pour faire nos lessives, et se baigner car il fait chaud. Papy et mamy nous invitent à une « bonne bouffe » : foie gras, confit de canard et un bon bordeaux, nous en profiterons pour faire ensuite une bonne sieste dans les hamacs.

    Les enfants sont heureux d’avoir un papy qui joue avec eux ; il faut dire que Jacques a toujours plein de bonnes idées pour amuser les enfants. Aujourd’hui il leur a fabriqué des bateaux à faire flotter sur le fleuve avec la coque d’un fruit de baobab.

     

    Jeudi 26 janv : nous décidons de lever le camp aujourd’hui car nos batteries sont à plat, il nous faut rouler pour recharger. Notre panneau solaire rechargeait mieux les batteries au Maroc. En Afrique, à cause de l’harmattan (le temps de l’Afrique), le ciel est quasi tout le temps gris car il est chargé de poussière et donc le soleil est voilé. De plus notre frigo, de part la chaleur tourne plus fort et nous consommons plus d’énergie.

    Nous continuons la piste, elle est assez difficile avec des passages trialisants et nous avons mangé de la poussière toute la journée.

    piste-vers-bafoulabé

    Quand nous arrivons au bivouac, nous devons tout nettoyer dans les véhicules car la poussière s’infiltre partout. Jeff essaye de boucher tous les endroits qui laissent passer la poussière mais nous avons l’impression qu’il y en a encore toujours plus !

    Nous trouvons un bivouac sympa au bord du fleuve Sénégal, entouré d’arbres où viennent nicher pour la nuit toutes sortes d’oiseaux.

    fleuve-senegal-bivouac-piste-bafoulabé

     

    Au moment de l’apéro, nous entendons tous un drôle de bruit qui revient régulièrement et nous nous interrogeons vraiment. Papy et mamy partent en éclaireur au bord du fleuve pendant que nous mettons notre tenue du soir « anti moustique »(manche et jambe longue + répulsif) et nous entendons papy et mamy qui nous crient : « hippo ! hippo ! », vite nous courront à travers les arbres pour rejoindre le rivage et effectivement une famille d’hippopotame étaient là, au milieu du fleuve. Ce que nous entendions, était en fait leur souffle  lorsqu’ils sortent la tête de l’eau pour reprendre leur respiration car ils restent longtemps en apnée. Nous avons pu les observer jusqu’à la tombée de la nuit mais nous ne nous sommes pas aventurer à attendre qu’ils sortent de l’eau , ce sont des animaux sauvages tout de même.

     

    bivouac-hippo

     

    Vendredi 27 janv : avant de reprendre la piste, nous allons dire au revoir à nos voisins les hippopotames et direction Bafoulabé, le prochain village.

     

    bafoulabé

    Nous devons traverser le fleuve, nous asseyons alors de passer par le pont de la voie de chemin de fer à Mahina mais des hommes que nous appellerons « arnaqueurs »veulent nous faire payer le passage du pont, papy et mamy qui étaient devant, restent fermes et refusent de payer , nous préférons payer alors le bac « officiel » à Bafoulabé, 5000 CFA par véhicule(7,5€). La traversée du fleuve a été rapide, le bac c’était sympa et attractif pour les enfants !

    bac-bafoulabé

    A partir de là,  la piste est difficile à trouver, certaines parties sont en travaux d’amélioration et d’autres ont carrément disparues. A priori le tracé que nous cherchons n’existe plus, il est 16h30, on a très chaud, on a très soif, et on a très envie de se dépoussiérer, alors nous cherchons un bivouac pour la nuit.

     

    Nous bivouaquerons près de l’ancienne voie ferrée (époque coloniale) et non loin d’un village. Le début de soirée sera consacré au ménage, les véhicules sont remplis de poussière.car la piste est terriblement farineuse.

    Samedi 28 janvier :notre 1ère tâche ce matin est de trouver de l’eau, nous allons donc au village voisin. Les gens nous accueillent très gentiment et nous donnent l’eau de leur puits sans problème, 2 hommes se relaient au pompage pour nous.

     

    eau-village

    C’est une véritable attraction dans le village, tout le monde est autour de nous et Anton fait le spectacle à la fenêtre de l’iveco  en faisant des grimaces !

     

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    Nous continuons notre route direction Kita, la piste est en travaux, elle est tantôt farineuse tantôt en tôle ondulée sur de la latérite. Dans l’après midi, abasourdis par la chaleur et la poussière, nous sommes surpris par un groupe de singes qui traversent la piste en courant, ça nous réveille et enthousiasme les enfants.

    Nous nous rapprochons des chutes de Billy, nous décidons donc de faire le bivouac à côté mais nous ne sommes pas arrivés à les trouver, l’accès en véhicule semblait trop difficile. Dans le silence de la nuit, nous entendons le bruit de l’eau au loin, mais nous ne verrons pas les chutes, ce sera pour une prochaine fois !

    chutes-billy

    Dimanche 29 janvier : notre air favori en ce moment c’est « le dimanche à Bamako c’est jour de mariage » mais NON nous n’y arriverons pas aujourd’hui !il nous reste plus de  200 kms et pas sur l’autoroute ! nous arriverons à Kita dans l’après midi, nous faisons du ravitaillement car après 6 jours de piste dans la brousse nous avons besoin de remplir les paniers et les réservoirs !

    A partir de Kita fini la piste, c’est désormais par le goudron que nous irons à Bamako. Nous trouverons un bivouac dans un champ de mil. Dans la soirée, papy et mamy construisent une cabane aux enfants.

    cabane-mil

    Lundi 30 janv : nous arrivons à Bamako au campement Kangaba en début d’après midi. Au programme : douche ! lessive ! douche ! lesssive !et repos !

     

    kangaba

     

    Mardi 31 janv :nous sommes bien installé à Kangaba, il y a plein d’attractions pour les enfants :des balançoires, des ânes, des chiens, une mare avec des canards, poules, dindons, des oiseaux partout………la nuit tombante les crapauds sortent alors Louan part, armé de son seau et de sa lumière à la chasse aux crapauds !

     

    la journée, il y a des ateliers d’artisanat, Louan s’intéresse à la construction des djembés et passe du temps à regarder et surtout pose beaucoup de questions. Il y a aussi des menuisiers qui réalisent des meubles magnifiques, du moins tout à fait à notre goût !

     

     

    atelier-djembé
     
    atelier-djembé-2

    Il y a malheureusement beaucoup de moustiques, ils m’ont dévoré, ça gratte, ça gratte …………….

    Nous profitons pour faire le ménage du camion car la poussière des pistes s’est infiltrée à travers toutes les bouches d’aération, mais aussi les joints des portes ……..

    Jeudi 2 fev :nous partons ce matin à Bamako pour faire faire la vidange de l’iveco, et quelques courses.

    bus-bamako

    En rentrant nous mangeons au resto du campement, nous nous interrogeons encore sur le morceau de viande que nous avons mangé !

    Et comme aujourd’hui c’est la chandeleur, ce sera crêpes pour le gouter !

     

     

    Ce soir nous sommes invités à prendre l’apéro par des français qui viennent d’arriver au campement et pour finir la soirée nous irons déguster 2 boules de glaces au bar car Jeff en avait une énorme envie !

    Vendredi 3 fevrier : aujourd’hui nous passerons la journée à Bamako afin de faire nos visas pour le Burkina, et faire quelques courses pour les prochains jours de piste.

    De retour au campement nous préparons notre départ de demain : plein des réservoirs d’eau et rangement …………

    Samedi 4 fevrier : Mamy nous suggère de rejoindre Ségou par la piste qui longe le fleuve Niger, OK c’est parti, nous verrons bien car ils ne l’ont jamais emprunté……….la piste s’avère être agréable et belle, nous nous rapprochons du fleuve pour le bivouac, nous avons la visite de quelques femmes avec leurs enfants qui rentrent au village.

    fleuve-niger

    Dimanche 5 février : ce matin nous ne retrouvons plus notre piste, nous restons sur une piste parallèle plus proche du fleuve mais difficile, visiblement peu fréquentée. Vers 11h30 fatigués nous décidons de faire la pause repas, nous avons constaté qu’avec l’estomac plein et un café nous retrouvions plus facilement notre chemin ! Effectivement cela s’avère encore une fois !

    Le soir au bivouac, la visite des hommes du village voisin nous a surpris ! Ils sont arrivés dans  le noir, en nous encerclant, fronde à la main ! en fait, les femmes nous ont vu nous installer et elles ont eu peur, les hommes sont venus voir qui était ces étrangers, ils n’avaient pas l’habitude de voir des blancs, nous les avons mis en confiance et ils sont rentrés rassurés la population

    Lundi 6 février : Dans la nuit le vent a beaucoup soufflé, mauvaise surprise quand nous sortons : tout couvert de poussière, il fait un sale temps, froid, gris.

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    ce matin nous arrivons à Ségou et nous retrouvons le goudron jusqu’à San.

    Le soir au bivouac ça caille ! Nous avons la visite des hommes du village voisin, ils ne parlent pas du tout le français mais nous comprenons qu’ils nous souhaitent la bienvenue. Nous nous serrons dans le camion pour manger au chaud avec papy et mamy, et nous nous coucherons tôt ce soir

     

    LE BURKINA FASSO

    Mardi 7 fevrier :au petit matin les hommes du village viennent nous dire bonjour, ça caille toujours…….aujourd’hui nous passons la frontière pour le Burkina Fasso à Benena et ce soir nous serons à Bomborokoui, un gros village où papy et mamy ont l’habitude de venir chaque année. Nous y resterons avec eux plusieurs jours.

    panneau-bomborokui

    Nous sommes installés dans la cour d’une maison du village, devant laquelle Papy et mamy font le cinéma le soir, il y a foule à chaque séance, c’est très folklorique d’assister à l’ambiance !

    village-bomborokui

    Vendredi 10 fev :au grand marché, nous avons fait quelques courses et j’ai acheté du tissu.

    petit-marché-bomborokui

    Nous avons fait la connaissance de plusieurs personnes dont Martin Pierre qui nous a fait faire une véritable visite guidée du village.

    Nous avons pu voir la fabrication du dolo ( bière artisanale locale)et même y gouter !

    dolo

     

    fabrication-dolo

    ainsi que les métiers et les occupations qui font vivre la communauté, la préparation des instruments pour la fête de ce weekend…alors le dolo est fabriqué en quantité, il y aura musiques et danses !!

    réparation-balafons
     
    fabrication-daba

    Pour l’ouverture de la fête : course cycliste dans le style africain"tranquille " !

    courses-cycliste-bomborokui

     

    Vendredi soir nous n’avons pas pu aller à la fête car Louan a été malade, une bonne turista !ça n’a duré que 24 h mais il a été très mal. ce n’est que partie remise, le samedi soir nous irons à la fête du fonio! Le fonio est la céréale cultivée dans la région.

    Dimanche 12 fev :aujourd’hui il ya procession religieuse catholique, nous irons y assister. Tous les gens se sont « endimanchés »avec des tenues colorées et des coiffures typiques.

     

    coiffures

    Lundi 13 fev : pour le dernier jour à Bomborokui, nous allons rendre visite à l’école primaire papy et mamy ont des ballons pour les enfants,

     

    école

    et nous rendons visite à la maisonnée de Martin Pierre , qui est très fier de nous recevoir

    famille-martin-pierre

    Les enfants sont une véritable attraction pour les africains qui n’ont pas l’habitude de voir des petits « toubabou »(blanc), ils les touchent et les caressent sans arrêt, ce qui est parfois difficile surtout pour Louan qui se sent trop envahi ……..

    Mardi 14 fev : jour du départ, voilà 1 semaine que nous sommes à Bomborokui, il est temps de reprendre la route. Nous n’avons que 2 jours de piste pour rejoindre Ouagadougou, piste latérite (terre rouge)en tôle ondulée : faut pas craindre les secousses !! heureusement nos fauteuil Recaro sont super confortables, les enfants derrière s’allongent et se calent dans leur coussin, ils s’amusent à faire du vocalise avec les vibrations !

    Mercredi 15 fev :début d’après midi nous arrivons à Ouaga, ravitaillement en produits européens pour les enfants : gâteaux, céréales…Il fait très chaud !il fait très soif ! Nous nous installons dans le parc d’un hôtel le temps de faire les formalités pour les visas nécessaires à la suite du voyage : Bénin avec le parc de la Pendjari, depuis le temps qu’on en parle à Louan ! et Togo pour la remontée………..

    Jeudi 16 fev : évidemment nous en avons profité pour faire du ménage dans les véhicules !même le toy prend la poussière !

    Vendredi 17 fev :nous avons récupéré nos visas de l’entente ce matin (visas qui concernent plusieurs pays, ce qui facilite le voyage)nous pourrons repartir demain à destination du Bénin . Nous avons fait des dernières courses, notamment un pot pour Anton. Comme les couches ce n’est pas facile à trouver, les déchets plutôt encombrants, les culottes pas drôles à laver quand on a peu d’eau, Anton reste les fesses à l’air ! Mais attention les dégâts !


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